Coucou, moi, c’est Évelyne. Tu peux m’appeler Ève, si tu veux. Je suis une femme divorcée qui profite de la vie après 20 années de mariage. À 60 ans révolus, je n’avais jamais été autant coquette que maintenant. Mini-jupes, décolletés plongeants, escarpins, cuissardes…, je me permets des looks sexy. Je suis une sexagénaire qui raffole de sensations fortes. J’ai toujours eu une libido débordante qui ne s’est pas réduite d’une once au fil des ans. Ma spécialité, ce sont les jeunes étalons qui ont encore besoin de quelques leçons de dressage.
Raconte-nous une histoire de sexe vécue ?
J’aime les jeunes hommes qui sont encore dans la fleur de l’âge. Je les préfère surtout à partir de 22 ans jusqu’à 35 ans. Avec deux amies, Liliane et Dominique, nous nous rendons chaque dernier samedi du mois dans un endroit chic et branché de notre ville (Nancy) pour boire et danser. Ces rendez-vous mensuels nous permettaient également de rencontrer des hommes avec qui nous finirions la soirée.
C’est ainsi qu’au cours de l’une de nos rencontres, j’ai fait la connaissance de André. Il faut dire que je l’avais repéré assis tout seul au bar enchaînant des verres de vodka. Il était tout à faire le genre d’étalon à qui j’aime faire profiter de mes expériences de cul. Je m’excusai auprès de mes copines et le rejoignis au bar.
J’ai alors pris place sur le siège à sa droite. Ayant remarqué ma présence, il se tourna vers moi et me dit bonsoir. Je répondis gentiment à sa salutation. Il commanda un autre verre de vodka et j’en fis de même. Me tournant vers lui, je lui ai demandé s’il n’y allait pas un peu fort avec la boisson. Il me fit comprendre qu’il supportait très bien l’alcool. Comme toute bonne mère, je pris quand même le soin de lui rappeler que l’abus de l’alcool nuit à la santé. Il sourit simplement.
André me demanda ce que je faisais dans un tel endroit. J’avoue que je fus un peu offusquée par sa question. Il le remarqua et s’excusa. Il ajouta qu’il me trouvait très séduisante. Je suis revenue sur sa question en lui expliquant que j’aime m’amuser, passer du bon temps et que j’ai bien plus à offrir que les minettes. « Tiens donc ! Et qu’est-ce que vous avez à offrir d’autres qu’elles ? », me demanda-t-il. Pour toute réponse, je me mis à caresser discrètement sa queue à travers son jean. Je le vis se raidir.
De façon très sensuelle et d’une voix hyper douce, je lui ai glissé à l’oreille que je l’attends sur le parking. Je pris mon sac et d’un geste de la main, je dis au revoir à mes copines qui se trémoussaient sur la piste de danse avec des jeunots. Nous partageons les mêmes vices en réalité. Une fois près de ma voiture, j’attendis une quinzaine de minutes avant de l’apercevoir. J’ai alors levé mes mains pour lui signaler mon emplacement. Il m’a rejoint d’une démarche confiante et nous avons pris le large pour ma maison qui était à 10 minutes environ.
Une fois chez moi, il a voulu me déshabiller d’emblée. Je lui ai donc dit de me laisser faire, je m’occuperais de lui. Je lui ai d’abord servi un baiser mouillé avant d’ouvrir délicatement les boutons de sa chemise. J’ai déposé de petits bisous sur son torse et pris le soin de lécher ses petits tétons et ses tablettes de chocolat. Je le conduisis ensuite dans ma chambre et l’aidai à retirer son jean. À la vue de son sexe, je me suis lapé subtilement les lèvres, car André était bien membré. Il avait l’une des plus grosses bites que j’ai vues de toute mon existence. Une vingtaine, une trentaine… je ne pouvais les compter.
L’experte de la fellation que je suis n’a pas manqué à sa tâche. Je lui ai taillé la pipe de façon magistrale. Ses grognements et gémissements en étaient la preuve. Il se coucha sur le dos et je me suis positionnée en andromaque pour lui montrer ce que j’avais à offrir plus que les minettes qu’il avait l’habitude de fréquenter. Sa queue était entièrement dans ma chatte et mes deux mains, posées sur son torse.
D’une souplesse inouïe, j’ai démarré un twerk endiablé sur sa bite. André avait ses deux mains sur chacune de mes fesses qu’il giflait par moment. C’est ainsi que je l’ai baisé sans relâche pendant près d’une vingtaine de minutes. Il se vida en moi dans un puissant râle de jouissance. Toute la nuit, je lui ai montré l’étendue de mes talents de baise.
Raconte-nous un fantasme ?
Mon fantasme est de me taper deux jeunes mâles pour un trio. J’ai déjà baisé avec un groupe d’amis, mais je devais avoir 22 ans à l’époque. L’idée de revivre ce genre d’expérience m’excite beaucoup. Tu as pu le constater, j’en ai encore dans le ventre.
Que fais-tu au Tel Rose ?
Je suis au Tel Rose pour te faire prendre ton pied et t’apprendre comment on traite une dame, une reine.