Coucou, je suis Adèle et je réside à Montpellier. Derrière le sourire charmeur que j’affiche se cache une affamée de sexe hard. Avec mes 25 ans, j’avoue que je suis une chaudasse qui ne prend son pied que lorsqu’elle est baisée sauvagement et salement. J’aime être la proie d’hommes bien baraqués et surtout bien gâtés entre les jambes par la nature. J’adore me faire prendre dans toutes les positions et dans tous les lieux. Rien ne m’effraie quand il s’agit de mon plaisir.
Raconte-nous une histoire de sexe vécue
Mes expériences sexuelles ne sont quasiment jamais décevantes. Pour être honnête, il n’est pas facile de choisir l’histoire de sexe qui m’a le plus marqué. Toutefois, j’ai d’excellents souvenirs de ma partie de jambes en l’air enflammée avec le fiancé de ma cousine. Oui, je sais que ce n’est pas super cool de baiser avec l’amoureux d’une proche, mais il était bien trop bandant pour que je résiste.
Il y a quelque mois, après une semaine de travail extrêmement chargée, j’ai décidé de faire un break en prenant du temps pour moi-même. Je me suis donc rendue dans une cave à vin de dégustation pour savourer du bon vin. J’aime autant le vin que le sexe (petite confidence). J’en étais à ma troisième dégustation lorsque je vis le fiancé de ma cousine, Charles. Il a pris place sur la chaise en face de moi. J’étais très surprise de le voir à cet endroit. C’est avec mon plus grand sourire que j’ai répondu à sa salutation.
Je lui ai alors demandé ce qu’il faisait là. Il me répondit qu’il y vient au moins une fois le mois pour déguster du vin. « Visiblement, nous partageons la même passion du vin ». Il acquiesça à la remarque que je venais de faire. Un petit silence s’installa. Pour le rompre, je lui ai demandé des nouvelles de ma cousine. Il m’informa alors qu’elle allait très bien et qu’elle était en week-end à Casablanca, avec ses copines.
Charles et moi nous discutions tranquillement comme de bons vieux potes. C’était la première fois que nous étions aussi proches. J’avoue qu’il est un bel homme, grand, avec des muscles en béton et un beau sourire. Pendant notre causette, je le vis mater mes seins par moment. Ils n’étaient pas vraiment cachés sous mon chemisier à moitié ouvert. Des idées pas très catholiques commencèrent alors à me traverser l’esprit. Subtilement, je lui ai touché les jambes avec mes pieds. Il se doutait bien de mon petit manège, mais demeura impassible.
J’ai alors fait tomber exprès le bracelet à mon poignet et m’abaissa sous la table pour le récupérer. Je me montrais plus entreprenante en caressant délicatement sa queue qui ne tarda pas à réagir en laissant place à une énorme érection. Lorsque je me suis relevée, je fis l’indifférente. C’est d’un ton calme et sûr qu’il me demanda ce que je voulais. D’un calme olympien je lui ai dit : « Je veux que tu me baises, je veux être ta chose ».
Sans piper un mot, il régla mon addition et la sienne puis nous avons quitté la cave. Je pris place à côté de lui dans sa voiture. Je le trouvais un peu trop sérieux. Je me suis alors mise à lui faire une fellation. C’était audacieux, mais il kiffait. Je n’ai pas arrêté de le sucer jusqu’à ce que nous arrivions à son appartement. Dès que la porte se ferma, il me plaqua contre le mur et déchira mon chemisier en dentelle. C’était tellement rapide que je n’ai rien vu venir.
D’une main, il renversa tout ce qu’il y avait sur le petit bureau aménagé dans le salon et me posa dessus. Charles commença à m’embrasser avec passion. Il me mangeait littéralement la bouche, tirait sur ma lèvre inférieure et faisait valser sa langue contre la mienne. Ma chatte (qui était déjà en ébullition depuis la cave à vin) était maintenant complètement inondée de ma mouille.
Il retira brusquement ma jupe et sans même prendre la peine d’enlever mon string, il le décala de côté et enfonça toute sa bite dans mon vagin. Je poussai un cri. Il m’ordonna de la fermer puis allait et venait en moi avec force en posant l’une de ses mains sur mon sein gauche. Il me secoua de longues minutes sur ce bureau. Malgré l’air conditionné, il suait comme s’il avait fait un marathon. Charles a alors voulu se désaltérer et me proposa également à boire dans sa cuisine.
Après avoir étanché sa soif, il me mit en levrettes sur le plan de travail et me baisa à une cadence qui devenait presque insoutenable pour moi. Mais, je le suppliais de farfouiller ma chatte encore plus durement avec son chibre. Je ne comptais plus le nombre de gifles qui s’abattaient sur mon cul. Avant de me lâcher, il m’encula, me laissant l’anus dilaté comme personne ne l’avait jamais fait.
Raconte-nous un fantasme
Mon fantasme le plus fou serait d’avoir rien que pour moi 4 gaillards bien membrés pour me déchirer la chatte et le fion.
Que fais-tu au Tel Rose
Au Tel Rose, je t’aide à réaliser tes fantasmes. Grâce à ma sublime voix et mes expériences sexuelles hard, tu jouiras encore et encore.